Il faut se rendre à l'évidence : des questions comme l'eau, l'énergie, l'alimentation, les médicaments, le climat, la pollution de l'air ou la biodiversité, mais aussi l'accès à la connaissance, sont vitales pour l'humanité et on ne peut bien les traiter, au 21ème siècle, qu'à l'échelle de la planète. Que ce soit sur le terrain politique, économique, social ou environnemental. Dès lors, les instances internationales fédérant tous les pays doivent être renforcées et, s'il y a lieu, réhabilitées, voire renouvelées.